après la de ", a indiqué mardi à Genève l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). L'antenne de l'OIM sur la frontière entre l' du Sud et le à Beitbridge a constaté "une augmentation du flux des Zimbabwéens qui ont décidé de temporairement chez eux en raison de craintes de flambées de violences xénophobes", a indiqué un porte-parole de l'OIM, M. air max pas cher . "Durant la dernière semaine de la Coupe du monde, le trafic pour la frontière a été marqué par la présence de camions chargés de meubles et d'autres objets de ménage, indiquant que ces gens prévoient des flambées de violence xénophobe et envoient leurs biens au Zimbabwe pour réduire les pertes et pour leur de plus rapidement le pays si nécessaire", nike air max 95 a expliqué M. Bloch. Le personnel de l'OIM sur place a interrogé durant le 140 migrants zimbabwéens qui rentraient dans leur pays : 90 % disaient des violences, et les 10 % restants ont déclaré déjà subi des violences xénophobes avant même leur départ. LE SPECTRE DE MAI 2008 Le ministre sud-africain de la a annoncé lundi le déploiement de forces de nike air max 2011 et de militaires dans la province du Cap pour protéger les immigrants d'autres pays africains. Le parti au , le Congrès national africain (ANC), l'Eglise catholique en Afrique australe et la se sont dits inquiets de rumeurs de violences envers les étrangers les plus pauvres une fois tombée l'euphorie de la Coupe du monde. En mai 2008, les Sud-Africains pauvres s'en nike air max tailwind 4 étaient pris à leurs voisins zimbabwéens, mozambicains ou somaliens, les accusant de les emplois et de à la criminalité. Plus de 60 personnes avaient été tuées et des dizaines de milliers d'étrangers avaient d leur domicile. Au cours des deux dernières années, poussés par l'effondrement de l'économie, des millions de Zimbabwéens ont fui leur pays pour leur chance en Afrique du Sud. 05.011.2013
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